Vaste blague.

Fraises, fraises, fraises et fraises des bois. Les rencontres singulières du bus du vendredi soir, un miroir vivant, une grimace, deux sourires. Mon dieu, ces gosses sont insupportables mais je les adore. Parce que leur papa a peindu leur lit et que de toute façon à fond la manette c'est beaucoup plus rapide que à fond la caisse. Tu m'en diras tant. Je suis définitivement fan de Zozie. C'est vrai qu'un ours de deux mètres de haut avec un chou sur la tête, c'est tout à fait naturel. Et bien évidemment tous mes efforts, si on peut dire cela comme cela, sont vains. Mais, je crois que je progresse dans l'art de la duplicité. Tiens, tiens, tiens, duplicité. Et paf, le souvenir. Le thème des chansons qui défilent dans ma tête a quelque chose de perplexant. Cela dit, je me demande comment je peux encore en venir à m'étonner du méli-mélo intrinsèque à ma réalité. Damn, j'aime la pluie. Et encore plus le parfum humide qu'elle laisse sur son passage. Et puis la douce musique qu'elle n'a de cesse de jouer dans un parfait accord tacite avec les vitres embuées. Et voilà qu'on en revient à l'éternel questionnement. Pourquoi déguster du chocolat au réveil de la sieste ?